Alain Rabatel souligne à juste titre l’« absence, chez Genette,
ceinture
gucci femme de critères linguistiques définissant les diverses focalisations
»
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gucci femme pas cher (p. 161, voir aussi p. 383-84). De fait, leur
définition comme modes de régulation de l’information narrative n’est pas une
définition linguistique, tandis que le grand mérite des différents travaux
d’Alain Rabatel est bien d’identifier des marques ou indices grammaticaux de
l’expression du point de vue. L’analyse énonciative rencontre alors la grammaire
textuelle développée dans la lignée d’Harald Weinrich. Dans la continuité des
précédents ouvrages de l’auteur, Homo narrans examine les différentes marques,
externes et internes, du point de vue (du moins du « point de vue représenté »)
sur le « plan de l’organisation textuelle ». Certaines formes verbales à
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louis vuitton femme pas cher valeur aspectuelle sécante, parce qu’elles
permettent d’envisager les événements dans le cours de leur déroulement, se
prêtent particulièrement à l’expression d’une subjectivité et à la
représentation du point de vue (ainsi l’imparfait, par opposition au passé
simple, dans les récits rétrospectifs). Même si le point de vue peut être amorcé
en premier plan, c’est souvent à des seconds plans syntaxiquement dépendants
d’un procès de perception mentionné ou impliqué dans le premier plan qu’il
revient de le représenter avec des imparfaits méronomiques (développant les
parties ou propriétés d’un thème-titre). Au-delà de ces cas d’anaphores
associatives entre perceptions représentées, développées ou détaillées en second
plan et perceptions prédiquées en premier plan, l’auteur souligne que les
perceptions et pensées représentées qui ne sont pas sous la dépendance
syntaxique d’un sujet et d’un procès de perception mentionnés dans les premiers
plans peuvent être sous la dépendance sémantique d’un agent ou d’un procès que
le texte ne mentionne pas explicitement, mais que le lecteur reconstruit par
inférence. Alain Rabatel précise encore que l’opposition entre premier et second
plan (qui joue le rôle de bornage externe du point de vue et s’apparente au
marquage externe du discours indirect libre) n’existe pas seulement dans les
enchaînements « passé simple + imparfait ». On la retrouve dans les
enchaînements « plus-que-parfait + imparfait » ou « imparfait + imparfait », «
indicatif présent + indicatif présent » et même « passé simple + passé simple »
. Alain Rabatel
lunette
lv pas cher examine également le rôle des présentatifs ou de l’ordre des
mots dans la « construction textuelle du point de vue ».
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